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Saint-Germain-des-Prés est placée sous le patronage de l’évêque de Paris, au contraire des trois autres églises parisiennes partageant la même titulature, et qui sont quant à elles dédiées à l’évêque d’Auxerre1. Fondation royale, sous le vocable primitif de Saint-Vincent-Sainte-Croix, elle joue, sous les rois mérovingiens, le rôle essentiel, quoique intermittent, de nécropole royale2. Bien que sa disposition d’ensemble ait été respectée au cours des agrandissements successifs, la basilique du vie siècle a entièrement disparu, en élévation du moins, entre le xie et le xiie siècle3. Deux campagnes au moins ont en effet bouleversé l’apparence de l’édifice. La première, selon Gislemar, chancelier de l’abbaye et continuateur de l’Historia miraculorum... d’Aimoin, fut lancée par l’abbé Morard (990-1014)4. L’ampleur exacte des travaux dus à l’abbé est contestée : si on lui attribue avec certitude le clocher occidental, il n’est en revanche pas assuré qu’il soit responsable de la reconstruction de l’ensemble de la nef5, comme le veulent Alain Erlande-Brandenburg et Bénédicte Mérel-Brandenburg6. Philippe Plagnieux, quant à lui, reste d’une prudence remarquable, se contentant de signaler qu’à peine plus d’une décennie après la mort de Morard, en 1025, Guillaume de Volpiano fut nommé abbé de Saint-Germain-des-Prés afin de réformer l’abbaye. Il ne quitta la fonction qu’après avoir pris soin d’y placer un homme à lui, Adraud (abbé de 1030 à 1060), et du temps de ce dernier, le scriptorium de l’abbaye prit un essor considérable7. Il est évidemment tentant d’attribuer au grand réformateur et bâtisseur que fut Guillaume de Volpiano une part dans le modelage de la physionomie de l’église. Aucun texte ne permet cependant de l’affirmer avec certitude.
Il est évidemment toujours périlleux de se fonder sur une datation stylistique des chapiteaux pour dater l’architecture. Il semble cependant que, si l’on devait attribuer à l’abbé Morard non seulement la conception de la reconstruction de la nef, mais également sa mise en œuvre, il faudrait faire face à un problème stylistique majeur : les chapiteaux de la nef de Saint-Germain-des-Prés seraient en effet alors sensiblement contemporains de ceux de la rotonde de Saint-Bénigne-de-Dijon, voire antérieurs8. En ce cas, les sculpteurs ayant travaillé à la nef apparaîtraient comme particulièrement visionnaires. On se trouve face à l’apparente contradiction, classique dans les textes médiévaux, entre l’attribution du monument à un concepteur et une réalisation dont l’évidence matérielle tendrait à retarder la chronologie. Sans doute est-ce à la suite de l’impulsion de l’abbé Morard que les travaux de reconstruction de la nef furent lancés, mais il semble indubitable qu’ils sont, en fait, postérieurs à sa mort. L’incertitude des textes nous laisse ainsi dans le doute quant à la datation des chapiteaux de la nef. Leur étude stylistique est rendue d’autant plus complexe que, comme l’a montré Louis Grodecki, trois sculpteurs se sont partagé leur mise en œuvre9. L’un d’eux occupe une place à part : il fut en charge de la réalisation des chapiteaux végétaux10. Il se situe dans la lignée des chapiteaux normands et annonce un certain nombre d’ateliers parisiens légèrement plus tardifs, notamment celui de Saint-Martin-des-Champs. Au musée, on lui doit les chapiteaux Cl. 18616, 18617, 18620, 18621 et 18622. Les deux autres sculpteurs furent en charge des chapiteaux figurés. L’un se caractérise par les proportions trapues de ses personnages, fortement saillants sur le fond de la corbeille, mais au modelé très réduit, à la limite du méplat. Il est l’auteur des chapiteaux Cl. 18615 et 18619. Le troisième, auquel on attribue les chapiteaux Cl. 18613,18614 et 18623, contraste fortement avec le précédent. Les personnages y ont un canon très allongé, la taille est vigoureuse, les modelés doux, les personnages animés, sans être dansants, et les passages de plans particulièrement maîtrisés. Ce dernier sculpteur a été étudié par Dany Sandron, qui a mis en lumière la place tenue par l’iconographie de l’eucharistie dans les chapiteaux qu’il a réalisés11. La principale question qui subsiste est posée par le chapiteau Cl. 18612 : on y voit cohabiter les deux ateliers des chapiteaux figurés, celui des figures trapues étant responsable des petits côtés quand celui des figures allongées a travaillé sur la face principale, y apportant un soin particulier, tout son art se déployant dans la figure du Christ. Faut-il en déduire que les deux sculpteurs se sont succédé et, plus particulièrement, comme l’a fait Dany Sandron, que le second a repris ce chapiteau après un changement dans le parti iconographique12 ? Deux raisons font que nous ne le croyons pas. La première tient à l’examen du chapiteau et de la façon dont s’agencent les réalisations respectives des deux sculpteurs13. La seconde vient de ce que l’un des chapiteaux attribués au premier atelier, qui représente Daniel dans la fosse aux lions, peut également être rapproché de ce même cycle iconographique14. Il nous semble donc que les deux ateliers ont cohabité, au moins un temps, et se sont partagé la réalisation de ce chapiteau, qui occupait la place centrale du cycle. Dany Sandron, se fondant sur des indices tenant à l’histoire de la théologie et surtout sur des rapprochements avec l’activité du scriptorium de Saint-Germain-des-Prés, donne à ces chapiteaux une date aux alentours de 1050. En l’absence de données architecturales assurées, rien ne permet de confirmer, ni d’infirmer, cette datation. Notons simplement que le passage de Guillaume de Volpiano à la tête de l’abbaye ne rend pas improbable l’expression de telles considérations théologiques avant le milieu du xie siècle. D’autre part, quelle que soit l’importance du scriptorium de Saint-Germain-des-Prés, nous ne pouvons pas postuler que ses options stylistiques sont antérieures à celles que l’on voit mises en pratique dans la nef : s’il ne fait aucun doute qu’il y a une certaine contemporanéité entre les deux, rien n’impose de considérer que la sculpture ne fait que suivre aveuglément l’enluminure. Car si l’on rejette l’hypothèse formulée par Dany Sandron d’une reprise du chapiteau du Christ en gloire, il faut probablement vieillir quelque peu la sculpture de la nef : le sculpteur de la face serait certainement assez novateur une quinzaine d’années plus tôt, mais le sculpteur des petits côtés de ce chapiteau paraîtrait très archaïque en 1050. Nous proposons donc d’avancer la datation des chapiteaux de la nef et de les placer plutôt au début de l’abbatiat d’Adraud, dans l’héritage direct de Guillaume de Volpiano, plutôt que dans ses dernières années.
La deuxième campagne de construction, qui concerna l’extension du chevet de l’abbaye, a été étudiée par Philippe Plagnieux15. Nous ne nous y attarderons pas, dans la mesure où le musée ne conserve aucune œuvre lui appartenant. Ce chantier fut lancé, vers 1145, pour abriter les tombeaux commémoratifs des rois mérovingiens et ainsi rappeler les liens unissant l’abbaye à la royauté en un temps où Saint-Denis prenait une place de plus en plus importante. Hugues de Saint-Denis, abbé de Saint-Germain-des-Prés de 1116 à 1146, en fut l’instigateur, même s’il n’en vit pas l’achèvement16. La concurrence entre l’abbaye germanopratine et le monument lancé par Suger apparaît clairement à l’examen des sculptures. Les deux édifices ont en effet partagé au moins deux sculpteurs : les chapiteaux du premier niveau du chevet de Saint-Germain ont les mêmes auteurs que ceux du cloître de Saint-Denis17, et l’atelier responsable des tombeaux de Childebert et de Clotaire l’est aussi des statues-colonnes de la porte dite « des Valois » de l’abbaye dionysienne18.
Une seconde vague de travaux devait modifier profondément et durablement la physionomie de l’ensemble abbatial de Saint-Germain-des-Prés. Dès l’origine, semble-t-il, c’est un architecte promis à un riche avenir qui en a la charge, Pierre de Montreuil. L’abbé lui confie la charge de reconstruire le réfectoire, pour lequel il propose un plan simple et classique, rectangulaire et tout en longueur ; toutefois, l’élévation, parfaitement rythmée par des contreforts et ouverte de grandes baies montant pratiquement de fond, était pour ainsi dire visionnaire dans les années 1235, ce qui peut expliquer qu’on ait voulu attribuer au génial architecte tous les grands chantiers du temps, de la chapelle de Saint-Germain-en-Laye à la Sainte-Chapelle. Mais c’est, plus encore, le chantier suivant qui contribua à asseoir la réputation de Pierre de Montreuil : la chapelle de la Vierge. Une inscription, dont on ne connaît plus aujourd’hui que la transcription, nous renseigne sur la date de début des travaux : Hanc præclaram B. Mariæ Virginis capellam anno Domini 1245 ab Hugone de Issiaco, hujus monasterii abbate 49, ædificari coeptam successor ejus Thomas de Malo Leone perfecit. Les travaux devaient être bien avancés en 1247, date à laquelle Hugues d’Issy y fut enterré, mais nous n’avons aucune certitude sur la date de son achèvement, si ce n’est que les moines s’y réunissent en 1255 pour élire le successeur de Thomas de Mauléon, Gérard de Monet. Il ne fait aucun doute que Pierre de Montreuil en est l’architecte, non seulement parce qu’il y fut enterré après sa mort le 17 mars 1267, mais également parce que son épitaphe le confirme19.
Démolie après son achat en 1802 par le docteur Salbrune (il n’en subsiste que quelques rares fragments, maladroitement remontés dans le square attenant à l’église abbatiale), la chapelle telle qu’on peut la connaître était probablement, aux côtés de la Sainte-Chapelle, un des chefs-d’œuvre du gothique rayonnant. Son plan était très simple : un vaste rectangle terminé par une abside à sept pans, de 32,50 m de longueur pour 9,50 m de largeur et 15,30 m sous voûte, divisé en quatre travées dans lesquelles le mur disparaissait presque complètement au profit de fines arcatures encadrant de larges baies au riche décor vitré20. Bien peu d’éléments en subsistent : les éléments du square déjà cités, quelques éléments inclus dans des immeubles de la rue de l’Abbaye et, surtout, deux œuvres permettant de juger du génie du sculpteur et de l’architecte : le portail et une Vierge inachevée, retrouvée en fouilles lors de la création du parking de la place de Furstenberg. Cassée lors de la taille, laissée inachevée, elle est un émouvant souvenir de la Vierge aujourd’hui disparue qui fut sculptée pour le trumeau du portail de la chapelle.
La physionomie du bâtiment fut, enfin, profondément transformée par les restaurations d’Étienne-Hippolyte Godde, lancées à partir de 1820. Outre l’arasement des tours nord et sud de l’église, on lui doit la dépose des chapiteaux de la nef et leur remplacement par des copies21. Ces chapiteaux, confiés au dépôt lapidaire de la Ville de Paris, dont ils constituaient l’une des pièces maîtresses, vinrent avec le portail constituer le cœur de la collection lapidaire du musée.
Chapelle de la Vierge ; Nef ; Bâtiments claustraux ; Parloir ; Autre
Chapiteau adossé : le Christ en majesté
Chapiteau adossé : personnages
Chapiteau adossé : personnages
Chapiteau adossé : Daniel dans la fosse aux lions
Chapiteau adossé à décor d'entrelacs
Chapiteau adossé à décor végétal
Chapiteau adossé à décor végétal
Chapiteau adossé : Samson et le lion
Chapiteau adossé à décor végétal
Chapiteau adossé à décor végétal
Chapiteau adossé à décor végétal
Chapiteau adossé : personnages
Trois chapiteaux accolés formant angle rentrant
1. Deux autres, Saint-Germain-le-Vieux, autrefois sur l’île de la Cité, à l’emplacement de l’actuelle préfecture de police, et Saint-Germain-l’Auxerrois, étaient situées à l’intérieur de l’enceinte de Philippe-Auguste. Comme Saint-Germain-des-Prés, la quatrième, Saint-Germain-de-Charonne, se trouvait sur un territoire autrefois indépendant, absorbé depuis, quoique plus récemment, par l’expansion de la ville moderne.
2. Elle accueille ainsi les tombes de Childebert, de sa femme Ultrogothe, de Chilpéric Ier, de Frédégonde, de Clotaire II, de Bertrude, sa femme, de Childéric II et de Bilihilde, sa femme. Alain Erlande-Brandenburg, Le roi est mort. Étude sur les funérailles, les sépultures et les tombeaux des rois de France jusqu’à la fin du xiiiesiècle, Paris-Genève, 1975, p. 135-146.
3. Sur la permanence du plan de la basilique mérovingienne, voir Alain Erlande-Brandenburg et Anne-Bénédicte Mérel-Brandenburg, « Saint-Germain-des-Prés à Paris. De la basilique du vie siècle à l’abbatiale du xiie siècle », dans Alain Erlande-Brandenburg, Jean-Michel Leniaud, Études d'histoire de l'art offertes à Jacques Thirion : des premiers temps chrétiens au xxe siècle, Paris, 2001, p. 71-83.
4. BnF, ms. lat. 12711, fol. 165v : « Anno autem Domini MXIV obiit Morardus pie abbas memorie, qui ecclesiam beati Germani a paganis ter incensam evertens a fundamentis novam reedificavit. » Voir Jean Dérens, « Gislemar, historien de Saint-Germain-des-Prés », Journal des savants, 1972, p. 228-232.
5. Voir, par exemple, Jean Hubert, « Les dates de construction du clocher-porche et de la nef de Saint-Germain-des-Prés », Bulletin monumental, t. 108, 1950, p. 69-84.
6. Alain Erlande-Brandenburg et Anne-Bénédicte Mérel-Brandenburg, « Saint-Germain-des-Prés à Paris. De la basilique du vie siècle à l’abbatiale du xiie siècle », dans Alain Erlande-Brandenburg et Jean-Michel Leniaud, Études d'histoire de l'art offertes à Jacques Thirion : des premiers temps chrétiens au xxe siècle, Paris, 2001, p. 81.
7. Philippe Plagnieux, « L’abbatiale de Saint-Germain-des-Prés, les débuts de l’architecture gothique », Bulletin monumental, t. 158(I), 2000, p. 14.
8. À moins de supposer une sculpture après la pose, ce que rien ne laisse penser. Il nous semble, après Jean Wirth, « Remarques sur la fabrication des chapiteaux romans », dans Alain Erlande-Brandenburg et Jean-Michel Leniaud, Études d'histoire de l'art offertes à Jacques Thirion : des premiers temps chrétiens au xxe siècle, Paris, 2001, p. 121-132, que cette hypothèse, trop souvent invoquée pour les chapiteaux romans, doit presque systématiquement être rejetée.
9. Louis Grodecki, « Les chapiteaux de Saint-Germain-des-Prés », Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1954-1955, p. 184-185.
10. Ceux-ci ont été notamment étudiés par Maylis Baylé, « La place des sculptures de Saint-Germain-des-Prés dans le cheminement des formes au xie siècle », dans De la création à la restauration, travaux d’histoire de l’art offerts à Marcel Durliat, Toulouse, 1992, p. 205-213.
11. Dany Sandron, « Edmond Du Sommerard und das Musée de Cluny. Zur frühen Entwicklungseschichte eines Museum (1843-1885) », Schnütgens Schätze. Gedenkschrift zum 150. Geburstag Alexander Schnütgen (22/02/1843-23/11/1918), Hiltrud Westermann-Angerhausern, éd., Cologne, 1993, p. 19-20 ; Dany Sandron, « Saint-Germain-des-Prés. Les ambitions de la sculpture dans la nef romane », Bulletin monumental, t. 153, 1995, p. 333-350.
12. Dany Sandron, « Saint-Germain-des-Prés. Les ambitions de la sculpture dans la nef romane », Bulletin monumental, t. 153, 1995, p. 347.
13. Sur ce sujet, voir Xavier Dectot, Musée national du Moyen Âge – Thermes de Cluny, Catalogue, Sculptures des xie-xiie siècles. Roman et premier art gothique, Paris, 2005, no 1.
14. Voir Xavier Dectot, Musée national du Moyen Âge – Thermes de Cluny, Catalogue, Sculptures des xie-xiie siècles. Roman et premier art gothique, Paris, 2005, no 4.
15. Il lui a consacré sa thèse de doctorat, publiée dans Philippe Plagnieux, « L’abbatiale de Saint-Germain-des-Prés, les débuts de l’architecture gothique », Bulletin monumental, t. 158(I), 2000.
16. Id., p. 21.
17. Id. et surtout Philippe Plagnieux, « Transmission et durée des modèles de chapiteaux du premier art gothique : l’exemple de Notre-Dame de Melun », in Yves Gallet, éd., Art et architecture à Melun au Moyen Âge, Paris, 2000, p. 177-182.
18. Ces rapprochements, mis en évidence dans Willibald Sauerländer, La Sculpture gothique en France, Paris, 1972, p. 87-91, ont été repris et confirmés, depuis la restauration du portail des Valois, dans Alain Erlande-Brandenburg, « La porte du cimetière à l’abbatiale de Saint-Denis, dite “porte des Valois”. Emplacement originel, déplacement, datation », Comptes rendus de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1999, p. 189-217, Alain Erlande-Brandenburg, « Les portails du xiie siècle, un programme ambitieux », dans Mantes médiévale, la collégiale au cœur de la ville, Mantes, Somogy, 2000, p. 96-103 et Alain Erlande-Brandenburg, « Le portail du Couronnement de la Vierge à Senlis, chronologie », dans Alain Erlande-Brandenburg (éd.), L’Art gothique dans l’Oise et ses environs (xiie-xive siècles). Architecture civile et religieuse, peinture murale, sculpture et arts précieux, Beauvais, GEMOB, 2001, p. 177-184, même si nous ne suivons pas tout à fait ce dernier auteur quant à la datation qu’il propose, et qui nous semble excessivement haute pour certaines œuvres de cet atelier.
19. « Flos plenus morum, vivens doctor latomorum/Musterolo natus iacet hic Petrus tumulatus/Quem rex celorum perducat in alta polorum/Christi milleno, bis centeno, duodeno/Cum quinquageno quarto decessit in anno. » Sur les bâtiments conventuels de Saint-Germain-des-Prés, voir Hélène Verlet, « Les bâtiments monastiques de l’abbaye Saint-Germain-des-Prés », Paris et Île-de-France. Mémoires, IX, 1957-1958.
20. Mary B. Shepard, « The St. Germain Windows from the Thirteenth-century Lady Chapel at Saint-Germain-des-Prés », dans Elizabeth C. Parker and Mary B. Shepard, ed., The Cloisters : Studies in Honor of the Fiftieth Anniversary, New York, 1992, p. 282-301.
21. Sur ces restaurations, voir en dernier lieu Marie-Christine de La Conté, « Les restaurations de Godde à Saint-Germain-des-Prés », dans Alain Erlande-Brandenburg et Jean-Michel Leniaud, Études d'histoire de l'art offertes à Jacques Thirion : des premiers temps chrétiens au xxe siècle, Paris, 2001, p. 307-316.
Xavier Dectot
© Réunion des musées nationaux – Grand Palais, 2011 ; mise à jour : mai 2016